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Pays riches, pays pauvres

Pays pauvres : périphrase pour pays africains.
Pays riches : périphrase pour pays occidentaux.

Il est d'usage de s'apitoyer sur le sort des pays dits pauvres, de fustiger en concurrence les pays dits riches.

Première remarque : sont apparemment exclues du club "pays riches" les monarchies pétrolières. C'est ainsi que les pays riches se doivent de subventionner et tenir à bout de bras des pays musulmans comme la Palestine, l'Afganistan ou l'Egypte - voire une autre monarchie pétrolière comme l'Irak - tandis que les Mecque du pétrole, si promptes à la prière, rechignent visiblement à l'aumône. Le Dar Al-Islam se fait ainsi grassement financer par le Dar Al-Harb (mais tout ceci est après tout très cohérent, historiquement du moins).
N'est-ce pas admirable la piété de ces Etats laïcs si soucieux de suivre les préceptes du Prophète : ils s'aquittent sans barguiner de la Jizya ; ils sont plus musulmans que le Prophète !

Qui est riche, qui est pauvre ?

Deuxième remarque : les pays dits riches ont un sous-sol d'une indigence pitoyable, à pleurer même. Tout au plus un peu de charbon. Quelques mines de fer. Tout juste de quoi monter une boutique de bijoux-fantaisies.

A contrario les pays dits pauvres, entendons africains, ont un sous-sol d'une richesse faramineuse : or, diamant, platine, pétrole, uranium, ce continent est sans doute le plus riche du globe.

Comment donc se fait-il que des pays pauvres s'obligent à financer des pays richissime ? C'est là une corruption grave de l'économie la plus élémentaire ; il y a forcément quelque chose de pourri dans ce tiers-monde.

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